Ou Everything you always wanted to know about Descartes but were afraid to ask Conférence du 15 mai 2010 donnée par monsieur E. Lerouxel, docteur ès maintien et bonnes manières, enseignant à l'Université du bon goût de Saragosse. E nfantée du vieil ibère tia 1 , la tante, la tata, et du castillan gata 2 , la chatte, la « tia gata », néologisme farthien, cache pour mieux dévoiler, voile pour mieux révéler la crudité gallicane du « ta chatte » immémoriel, du « ta chatte » freudien, du « ta chatte » éternel. Nourrie au sein de Nabokov 3 , la lolitia (que nous pourrions traduire par « lolitachatte ») incarne bien tout le paradoxe sociétal empreint d’un Warholisme 4 mâtiné de Mac Luhan. Car enfin, cette tia gata (ou tiagata) marque rien moins que l’entreprise de désenchantement-réenchantement 5 du corps la plus aboutie depuis les années 20, décennie du charleston, décennie du bibi, décennie de la fanfreluche. Mais arrêtons-nous un m...